Règle numéro 1 : déléguer les éruptions de tristesse à Alanis Morissette, première époque.
Règle numéro 2 : se faire mettre du sel sur les plaies par Jeff Buckley.
S'autoriser à pleurer un peu parce que les tracas sordides deviennent sublimes chantés par ces deux-là. Pas du tout parce qu'on pourrait s'amocher au passage.
D'ailleurs ma saboteuse le dit très bien : "tu as tout rêvé, c'est impossible que ça se soit passé, reprends toi. Contente toi d'être emplie de joie à l'idée qu'un autre existe, le reste n'a de réalité que dans ta tête".
En cas de doute, toujours se tourner vers Alanis…
Tiens, je vais de ce pas m’en servir une louche dans les oreilles…
Orpheus cette meuf a chanté toutes mes colères et tous mes désespoirs. Mais Jeff.. Oh je devrais l'épouser à titre posthume. Rien que pour l'extase qui dure 30 ans (le seule homme à m'avoir fait cet effet aussi longtemps ??)
Jeff, il est hors catégorie. <3
J'entends encore sur Grace, 30 ans après, des notes que je découvre. C'est de la sorcellerie. Bref, oui, hors catégorie, Tomek !
quand tu passeras à SIA, Beyoncé ou Miley Cyrus, on en reparlera... Mais Alanis et Jeff, je partage.
A part reset neurologique, je ne crois pas qu'on soit menacées, fredoche !