J'ai écrit, il y a quelques mois, sur un de mes autres blogs, que j'avais rêvé d'une personne qui m'attendrait un matin à la sortie du métro, pour prendre un très matinal café. La qualité prémonitoire de ce rêve est absolument nulle, toujours, depuis.

J'écrivais à l'époque que, même en sachant que ça n'arriverait jamais, il y avait une absence en forme de cette personne en haut des marches qui émergent de la station Liège. C'est toujours vrai, je pense souvent à ce rêve quand j'arrive à la surface.

Mais surtout, le café sur la terrasse duquel on émerge ou à peu près a changé de nom. Et sans doute de propriétaire, mais telle n'est pas la question. Vraiment, tout est dans le nom.

Un trollage d'une qualité inédite.

A quoi ça sert d'essayer d'apprendre une forme de sagesse, de philosophie, si c'est pour se faire moquer par la première devanture de café venue, je vous le demande ?

(Oui, je ris, presque à chaque fois. Il n'y a pas que de la joie dans ce rire mais c'en est un, néanmoins).